« Que tes pas sont gracieux dans tes sandales, fille de prince ! Le contour de tes hanches ressemble à un collier, oeuvre de mains d’artiste.Ton nombril est comme une coupe bien arrondie où le vin parfumé ne manque pas. Ton ventre est comme une meule de blé bordée de lis.Tes deux seins sont deux faons jumeaux d’une gazelle.Ton cou est une tour, une tour en ivoire. Tes yeux sont des étangs, des étangs de Hechbôn près de la porte Populeuse, et ton nez est semblable à la tour du Liban postée en sentinelle en face de Damas. Ta tête, sur ton corps, est comme le Carmel et tes cheveux ont des reflets de pourpre. Un roi est enchaîné dans leurs ondulations. »« Que tu es belle et que tu es gracieuse, ô mon amour, ô fille délicieuse. Par ta taille élancée tu es comme un palmier. Tes seins en sont les grappes. Alors j’ai dit : “Ah, je vais monter au palmier, j’en saisirai les grappes.” Que tes seins soient pour moi des grappes de raisin ! Le parfum de ton souffle rappelle celui de la pomme, 1et ton palais distille le vin le plus exquis… » « Oui, un bon vin qui va droit à mon bien-aimé, et glisse sur les lèvres de ceux qui s’assoupissent. »« Moi, je suis à mon bien-aimé et c’est moi qu’il désire.Viens donc, mon bien-aimé, sortons dans la campagne. Nous passerons la nuit au milieu des hameaux, et nous nous lèverons au matin, de bonne heure, pour aller dans les vignes, pour voir si elles sont en fleur et si leurs bourgeons sont ouverts, si déjà sont sorties les fleurs des grenadiers. Là-bas, je te ferai le don de mon amour.comme des colliers, œuvre de main d’artiste.
Ton nombril est une coupe arrondie,
qu’il ne manque jamais de vin parfumé.
Ton ventre, un tas de blé, entouré de lis.
Tes deux seins sont comme deux faons, jumeaux d’une gazelle.
Ton cou, comme une tour d’ivoire.
Tes yeux, les étangs de Hesbon, près de la porte de Bat-Rabbim.
Ton nez, comme la tour du Liban qui regarde vers Damas.
Ta tête se dresse sur toi comme le Carmel,
et la chevelure de ta tête est comme la pourpre :
un roi est pris dans ses boucles !
Que tu es belle, que tu es délicieuse, ô amour, dans tes délices !
Ta taille est semblable au palmier, et tes seins à des grappes.
J’ai dit : Je monterai au palmier, j’en saisirai les rameaux.
Que tes seins soient comme des grappes de vigne,
le parfum de ton souffle comme celui des pommes,
et ta bouche comme un vin exquis…”**
“Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras ;
car l’amour est fort comme la mort,
la passion inflexible comme le séjour des morts.
Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de Yahvé.
Les grandes eaux ne peuvent éteindre l’amour,
ni les fleuves le submerger.”
“Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras ;
car l’amour est fort comme la mort,
la passion inflexible comme le séjour des morts.
Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de Yahvé.
Les grandes eaux ne peuvent éteindre l’amour,
ni les fleuves le submerger.”
**“Que tes pieds sont beaux dans tes sandales, fille de prince !
Les courbes de tes hanches sont comme des colliers, œuvre de main d’artiste.
Ton nombril est une coupe arrondie,
qu’il ne manque jamais de vin parfumé.
Ton ventre, un tas de blé, entouré de lis.
Tes deux seins sont comme deux faons, jumeaux d’une gazelle.
Ton cou, comme une tour d’ivoire.
Tes yeux, les étangs de Hesbon, près de la porte de Bat-Rabbim.
Ton nez, comme la tour du Liban qui regarde vers Damas.
Ta tête se dresse sur toi comme le Carmel,
et la chevelure de ta tête est comme la pourpre :
un roi est pris dans ses boucles !
Que tu es belle, que tu es délicieuse, ô amour, dans tes délices !
Ta taille est semblable au palmier, et tes seins à des grappes.
J’ai dit : Je monterai au palmier, j’en saisirai les rameaux.
Que tes seins soient comme des grappes de vigne,
le parfum de ton souffle comme celui des pommes,
et ta bouche comme un vin exquis…”**